Hausse des cotisations et du gaz, création d'un nouveau produit d'épargne, évolution du DPE... les mesures du mois de juillet n'ont pas encore pris le pli des vacances !

En étendant l'utilisation des titres restaurant à l'achat de produits alimentaires non consommables immédiatement, 800 millions d'euros sont partis dans les caisses de la grande distribution depuis 2022. Les demandes émises par les restaurateurs et les commerçants pour cesser cette pratique ont toutes été refusées par le gouvernement, qui dit vouloir privilégier le pouvoir d'achat des Français…

En contrepartie, ils bénéficieront de droits accrus et recevront, comme les travailleurs salariés, une pension de retraite complémentaire.

Cette opposition s'inscrit dans un contexte sensible pour le secteur, particulièrement marqué par les sujets mouvants comme MaPrimeRenov et les CEE.

Un projet qui, rappelons-le, ne fait pas l’unanimité côté demandeurs d’emploi et entreprises, en raison du durcissement des conditions d’accès, du nouveau calcul des indemnités, et de la contribution patronale d'assurance chômage sur les contrats courts.

À la tête d’une entreprise ou indépendant, certaines modalités administratives ont leur date butoir. Comme il n’est pas toujours facile de tout garder en tête, et qu'elles sont obligatoires, la rédaction vous propose un tour d’horizon.

La piste a été signalée par Tracfin (Traitement du renseignement et action contre les circuits financiers clandestins), une cellule de renseignement financier française placée sous l'autorité du ministère de l'Économie et des Finances.

La rédaction fait le tour des échéances dont vous devez vous acquitter avant le 31 mai.

Alors que la question de sa fin de carrière demeure une préoccupation pour de nombreux travailleurs, le plan épargne retraite (PER) s’impose comme une solution attrayante pour sécuriser son avenir. Afin d’encourager l’épargne à long terme, ce support offre une série d’avantages qui en font un outil essentiel pour bien préparer sa retraite.

Alors qu’elle les refusait depuis 2011, la Cour de cassation accepte désormais les preuves illicites ou déloyales devant les tribunaux civils et donc les prud’hommes. À deux conditions, toutefois : qu’elles soient indispensables et strictement proportionnées au but poursuivi. Cette nouvelle page de jurisprudence réserve sans doute de futurs rebondissements.