Après sa nomination le 9 février dernier en tant que ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation, une question se pose légitimement : la redéfinition de son portefeuille va-t-elle influer sur la politique en faveur des entreprises du commerce et de l'artisanat (termes effacés de son titre), menée jusqu'à présent, ou au contraire, la détourner de ses missions initiales ?