À l'heure de coupes budgétaires, le réseau des CMA formule une série de mesures pour optimiser la gestion des fonds destinés aux filières d'apprentissage. Objectif : faire entendre la voix des artisans dans les débats à venir, pour une rentrée 2024 plus sereine...

Même somme, mêmes conditions. La ministre Carole Grandjean a promis lors des 1res Assises de l’apprentissage, ce mardi 7 novembre, de ne pas toucher à la prime à l’embauche des apprentis. Mais, pour faire baisser la facture (21 milliards investis par l’État en 2023), une grande consultation devrait se tenir d’ici à mai 2024 avec les acteurs de l’alternance. Objectif : réviser l’ensemble du système de financement.

En 2021, plus de quatre apprentis sur dix (44%) se sont fait une place dans la branche qui les a formés, dans les six mois suivant la fin de leur formation. Un chiffre en demi-teinte, marqué par des disparités entre les filières. Le diplôme reste, lui, un précieux allié dans le recrutement.

Si la plupart des élèves ont pris la route de l’école, certains n’ont pas encore trouvé leur entreprise d’adoption. Inversement, les employeurs qui peinent à trouver de la main d’œuvre et désireuses de transmettre leur savoir-faire, sont démunis de solutions. Pourtant, elles existent.

Apprenti, en recherche d'emploi, en situation de handicap, des aides de l’état sont disponibles pour obtenir le fameux permis B, passons-les en revue !

Cette annonce a mis en lumière le potentiel de formation du groupe, comptant 360 programmes dans le monde, tous assurant la transmission de savoir-faire variés tels que la maroquinerie, la couture et la vente.

Avec ce support, le ministère du Travail, avec l’appui de l’Agefiph et le FIPHFP, souhaitent informer et sensibiliser les entreprises, les CFA, mais également les personnes en situation de handicap sur l’opportunité qu’est l’apprentissage aménagé.

Ce sont près de 670.800 contrats qui ont été signés dans le secteur privé depuis le début de l’année jusqu’en septembre 2023, soit +4% par rapport à la même période en 2022.

En six ans d’existence, la start-up Wecandoo a bien grandi. L’entreprise, qui offre la possibilité au grand public de s’essayer à une pratique artisanale grâce à des ateliers immersifs, fédère désormais 2.500 artisans dans toute la France, et même au-delà ! Point de situation avec l’un de ses trois co-fondateurs, Édouard Eyglunent…

Près de 800 jeunes se sont affrontés pendant trois jours lors de cette 47e complétion nationale des métiers. Celle-ci s’est ouverte à Lyon le 14 septembre dernier et a pris fin ce dimanche.