[Prix Goût & Santé MAAF Assurances] Partenaire de cet événement depuis sa création, Le Monde des Artisans est bien placé pour jeter un regard sur le profil des quelque 130 candidats qui se sont succédé devant le jury en 16 éditions et vous fournir le palmarès 2018.
Nicolas Bard part du principe que "c’est en faisant qu’on prend confiance". ICI Montreuil, manufacture collaborative et solidaire pour les entrepreneurs du "faire" qu’il a cofondée, accueille 25 % de TPE, un chiffre qui augmente chaque année.
Si la TPE a besoin de côtoyer d’autres savoir-faire pour se développer, innover, inventer, sa taille reste son atout majeur. Souples et réactives, elles sont sollicitées régulièrement par de grands groupes…
Employeurs, vous vous posez encore des questions sur le prélèvement à la source ?
Le réseau Cerfrance vous propose d'y répondre en deux minutes !
Laurent Rigaud (Boucherie Rigaud et filles, dans le Nord) peaufine son savoir-faire depuis trente ans.
Tout part de la main, d’un savoir-faire peaufiné pendant des siècles et arrivant jusqu’à l’ex-apprenti devenu artisan. Il y a en effet un art de la plomberie "à la française", de la boucherie "à la française"…
Dans le monde entier, l’artisanat français, tous secteurs confondus, c’est l’art du "faire", du savoir-faire parvenu à une maturité inégalée. Savamment allié à leur savoir-faire unique, l’usage des nouvelles technologies fait d’eux des leaders. Sur le plan de la haute technicité, au service de l’excellence, et donc de l’innovation. Osons donc affirmer que l’avenir de l’économie française est dans la main, leurs mains.
Qu’elle réponde à un besoin de savoir-faire, de ressources financières,
humaines ou techniques pour soutenir le développement de son entreprise
ou à une préférence personnelle, la collaboration entre professionnels
a de beaux jours devant elle dans l’artisanat. La preuve par trois.
Crafterisation
Bouilleur ambulant : une formation unique en France
Le 12/11/2018
par Isabelle Flayeux
Alors que le fait main et le fait maison font partie des signes révélateurs d’une crafterisation, des formations spécialisées remettent au goût du jour des métiers du patrimoine qui se transmettaient oralement et dont les savoir-faire ancestraux sont marqués par la production en circuits courts.
"Ma démarche était portée par un concours d’évidences et non par la volonté de développer un concept." Avec l’envie "de revenir à un pain qui nourrit les gens, celui qu’on mangeait il y a cent ans", Maxime Bussy fabrique, dans son petit local parisien du XXe arrondissement baptisé Le Bricheton, une douzaine de variétés de miches à base de farines paysannes et d’eau de source.