Trier ses déchets est devenu une routine. Mais pour les pros, il y a encore du chemin à parcourir... Pour aiguiller les entreprises et leur transmettre les bonnes pratiques, l'Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a récemment édité une brochure.
Avec une volonté accrue de redonner du sens à leur métier, de nombreux artisans décident de revenir aux sources, en relançant une activité ou un savoir-faire disparu. Ils produisent avec soin, en petite quantité et misent tout sur la qualité d’une tradition, tombée en désuétude par la volatilité d’une mode ou les évolutions techniques. Tous attestent du bénéfice de s’adresser directement à une clientèle de particuliers et de professionnels en quête d’authenticité. Des clients pour qui la facture artisanale fournit matière au rêve, et qui redécouvrent les vertus du bel ouvrage.
Pénurie de repreneurs, concurrence des plateformes, difficultés de recrutement… Après des années sombres, le temps est à l’accalmie pour les peintres en bâtiment. Tournée vers l’avenir, la profession revoit son modèle économique et accueille de nouveaux profils. État des lieux avec Jean-Jacques Châtelain, président de l’UNA* peinture vitrerie revêtements de la Capeb et peintre dans les Yvelines.
Rentabilité, performances, économies… Et si, au-delà de tous ces bénéfices, l’écoconception devenait tout simplement la philosophie « naturelle » et le mode de fonctionnement de base de toute entreprise moderne ? Éléments de réflexion avec Samuel Mayer, directeur du Pôle écoconception et management du cycle de vie à Saint-Étienne (42).
Le cycle de vie d’un produit se définit par l’ensemble des étapes qu’un produit parcourt de l’extraction des matières premières nécessaires à sa fabrication jusqu’à l’élimination du produit devenu déchet.
Concevoir un produit ou un service en anticipant ses impacts sur l’environnement durant tout son cycle de vie, tel est le principe de l’écoconception. Un concept à première vue contraignant mais qui booste quasiment à coup sûr la performance et la rentabilité de l’entreprise sans forcément entamer une révolution !
Après Rouen le 11 avril autour du thème de l'apprentissage, Camille Lartisan, par le prisme de Bernard Stalter, président de l'APCMA, continue ses déplacements en région, à la rencontre de son public. Ce matin, direction Rémilly (Moselle), dans les Etablissements Grandidier, pour évoquer l'aménagement du territoire.
Concurrence moins forte, potentiel de marges plus élevées : les niches sont souvent plus rentables que le marché de masse… et plus risquées. Rencontre avec des artisans qui, en acceptant de se mettre en danger, ont tout gagné. Preuve que " la fortune " sourit aux audacieux.
À l’instar du pâtissier qui ne passe pas sa journée à déguster ses créations, Olivier Sulpie n’a pas joué au baby-foot depuis bien longtemps ! Il se "contente" de les fabriquer, en reproduisant les gestes de son père tout en pariant sur l’avenir de ce produit authentique, loin d’être tombé en désuétude.