En pleine troisième vague épidémique, l’État prolonge, dans une instruction du 23 mars, l’accompagnement RH proposé aux TPE-PME. La prise en charge, qui peut aller jusqu’à 100%, doit permettre aux entrepreneurs de passer la crise ou d’appréhender leur reprise grâce à des conseils RH d’experts.

L’Association GSC et la société Altares ont dévoilé le 16 mars, la 5e édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. En 2020, 33.189 chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle : soit une diminution de 31,4% par rapport à 2019. Belle preuve de l’efficacité des mesures anti-faillites mises en place par le Gouvernement. Mais que va-t-il se passer quand les perfusions vont cesser ? Si l’hécatombe a été contenue temporairement, la sortie de crise, qui rimera avec baisse et suppression des aides, risque de laisser bien des TPE sur le carreau.

Souvent méconnues, des aides à destination des femmes qui souhaitent se lancer dans l’entrepreneuriat sont proposées par l’État au travers d’établissements intermédiaires. Elles ont vocation à soutenir les porteuses de projet dans la création/reprise d’entreprise et se présentent sous plusieurs formes : financement, action levier, accompagnement, information.. Tour d’horizon de ces dispositifs.

Créé en 2017, par le ministère du Travail, le guide sur l'égalité professionnelle destiné aux TPE et PME vient d'être mis à jour. Accessible sur le site Internet du ministère, le livret se veut pratique et ludique. Les artisans et commerçants disposent ainsi d’un outil clé en mains pour lever les freins liés aux stéréotypes, développer des actions en faveur de l'égalité femmes-hommes au travail et répondre à leurs obligations légales. Explications

Une étude récente publiée par le CESE (Conseil économique social et environnemental) met en lumière la part des femmes dans la création d’entreprise. Si ce domaine connaît un dynamisme fort, avec plus de 815.000 créations d’entreprises en 2019, le panorama n’en est pas moins teinté d’inégalités, de stéréotypes et de problématiques liées au sexisme. Mais alors, quels sont les obstacles qui persistent et comment y remédier ?

Dans un communiqué du 25 février, l'Association pour la garantie sociale des chefs et des dirigeants d’entreprise (GSC) demande une revalorisation temporaire du montant de l’allocation chômage des travailleurs indépendants (ATI)  à 1.000€ minimum, contre 800€ actuellement.

Le dispositif « emploi franc + » s’inscrit dans le cadre du plan « 1 jeune 1 solution » pour les personnes qui résident dans un QPV (quartiers prioritaires de la ville). Cette mesure permet à l’employeur de bénéficier d’une prime non négligeable, à condition de recruter en CDI ou en CDD d’au minimum 6 mois, entre le 15 octobre 2020 et le 21 mars 2021. Quelles sont les démarches ? Nous nous sommes penchés sur la question.

Dans une décision du 17 février 2021, la Cour de cassation requalifie en CDI, une succession de "contrats d’intérim" et juge en conséquence la rupture du contrat comme nulle pour non-respect des règles légales. Retour sur le cas concret qui a amené cette décision.

L'Assurance Maladie-Risques professionnels et l'INRS (Institut national de recherche et de sécurité) proposent aux professionnels des secteurs de la coiffure, de l’esthétique et de la prothésie ongulaire, une nouvelle offre pour prévenir les risques professionnels. Quelles sont ses spécificités ? Tour d’horizon.